25 mai 2005
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Les siècles avancent
Et le ciel s’étend
Inaliénables
Visqueux ou liquoreux
N’ayant le soucis des sangs
Ni des heures…
… ni des heurs
Et ce, à l’infini
De nos millénaires
Fourmillant
Sans cesse
Dans le fouillis
Parfait
De l’univers.
Et le ciel s’étend
Inaliénables
Visqueux ou liquoreux
N’ayant le soucis des sangs
Ni des heures…
… ni des heurs
Et ce, à l’infini
De nos millénaires
Fourmillant
Sans cesse
Dans le fouillis
Parfait
De l’univers.
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