25 mai 2005
Liberté
Je sais
Les verbes qui se détachent
Et se laissent déglutir
De ma gorge à tes oreilles
Un peu pâles
Comme le ciel
Au matin
Ténu
Je sais
Les mains qui s’aventurent
Du néant de mes désirs
Hésitants
Sur le bord du précipice…
Inavouables
Je sais
Que cette fois
J’irai
Les chaînes encore brillantes
De l’histoire qui fût la mienne
Se liquéfieront
Subrepticement
Et ma voix
Chargée de l’étendue des désastres
Encore tremblante
Invoquera
Ta substance
Ta matière
Et ce rêve
Qui nous a conduit jusqu’ici
Je sais
Que les mots ne changent
Que peu de destins
Et qu’une main
Peut ne jamais se tendre
Alors l’attente
Voie
Toujours plus étroite
Enserre
Lentement
Les visions tellement lointaines
De…
La liberté.
Les verbes qui se détachent
Et se laissent déglutir
De ma gorge à tes oreilles
Un peu pâles
Comme le ciel
Au matin
Ténu
Je sais
Les mains qui s’aventurent
Du néant de mes désirs
Hésitants
Sur le bord du précipice…
Inavouables
Je sais
Que cette fois
J’irai
Les chaînes encore brillantes
De l’histoire qui fût la mienne
Se liquéfieront
Subrepticement
Et ma voix
Chargée de l’étendue des désastres
Encore tremblante
Invoquera
Ta substance
Ta matière
Et ce rêve
Qui nous a conduit jusqu’ici
Je sais
Que les mots ne changent
Que peu de destins
Et qu’une main
Peut ne jamais se tendre
Alors l’attente
Voie
Toujours plus étroite
Enserre
Lentement
Les visions tellement lointaines
De…
La liberté.
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